Cheyssinoises, Cheyssinois,
Vos élus d’opposition sont toujours présents à vos côtés et vous informent.

Même si la situation reste inchangée et de nombreux sujets de désaccord persistent, cela fait 4 ans et demi que nous œuvrons au sein des conseils municipaux. Toutefois, certaines de nos questions restent en suspens sur des décisions prises par l’équipe de la majorité et qui nous impactent tous.
Voici en quelques questions les sujets d’actualité qui nous préoccupent.

L’ÉCOLE ET SON FONCTIONNEMENT

• Quels ont été les critères de recrutement, les dossiers reçus et le choix de l’Atsem en 2022 ?

• Les conseils d’école se déroulent dans un climat tendu. Monsieur le Maire, qui semble adopter le même comportement qu’en séance du conseil municipal, n’a-t-il pas encore mesuré que la priorité reste celle de nos enfants ? Pourquoi le lien est-il rompu ?

• L’équipe en place avait-elle le choix de la dématérialisation des tickets de cantine, imposée aux parents ?

• Où en est-on du remplacement du poste périscolaire ?

• Pourquoi la responsable de la restauration scolaire a démissionné au bout de 21 ans de loyaux services, à 4 ans de sa retraite ? Quelles en sont les raisons profondes ?

LE BÂTIMENT MULTI-ACCUEIL

• Quels ont été les critères d’attribution des logements communaux ? Comment ont-ils été définis ?

• Malgré une demande en conseil municipal, pourquoi la majorité municipale a-t-elle refusé de nous intégrer à la comission d’attribution des logements communaux?

LES CONSEILS MUNICIPAUX

• Pourquoi les pièces se rapportant aux sujets abordés ne nous sont pas fournies spontanément ?

• Pourquoi ces pièces, après demande de notre part, ne nous sont fournies que partiellement ?

• Comment sont gérées les divergences d’opinion au cours des conseils municipaux ?

• Pourquoi ne sommes-nous pas invités aux assemblées qui précèdent les conseils et durant lesquelles les décisions sont prises ?

• A-t-on le droit de nous calomnier, de nous marginaliser ?

• L’humiliation publique y est-elle acceptable ?

Malgré une présence assidue aux conseils, ces questions ne trouvent pas de réponse explicite. Pour autant, nous pensons que ces sujets nous concernent tous et que chacun peut en être informé et y contribuer. Nous vous invitons à consulter notre site Internet, qui regroupe davantage de sujets d’actualité sur la vie du village, pour en apprendre plus sur les décisions de votre commune.

Nous vous remercions de la confiance que vous nous accordez et tenons à vous représenter comme il se doit, c’est pourquoi nous avons à cœur d’œuvrer pour que chacun d’entre vous se sente bien dans ce petit village que nous partageons.

Sachez que nous sommes et restons à votre écoute.

LA CHRONIQUE

Quand un bout de tissu tricolore devient une arme de destruction politique.

Certaines histoires dans la vie politique d’un petit village comme le nôtre peuvent rester à l’état d’anectode et d’autres peuvent prêter à sourire si les conséquences n’avaient pas un potentiel si désastreux pour le système démocratique local.

Ainsi les élections municipales de 2020 ont été marquées par un épisode rocambolesque orchestré par l’équipe sortante, qui, visiblement en manque d’idées originales, avait trouvé bon de faire taire la liste d’opposition en portant plainte contre elle pour avoir osé… accrochez-vous bien… mettre un drapeau français sur leur affiche de campagne ! Oui, vous avez bien lu, l’accusation est aussi grave qu’un
hold-up sur la République.

Le crime ? Un simple drapeau national, innocent, flottant fièrement sur une affiche, comme pour rappeler que nous sommes tous citoyens français. Mais apparemment, il faut un manuel spécial pour utiliser les couleurs bleu, blanc, rouge. Ne pas savoir, c’est 75 000 euros ! Une somme qui nous a été réclamée, digne des plus grandes œuvres d’art contemporain qui frôle l’absurde ou peut-être des cabrioles politiques. Une équipe municipale sortante en lice qui ose tout, et c’est
bien à cela qu’on la reconnaît.

Et pendant qu’on parle d’intimidation à coup de gros sous, les vrais problèmes locaux, eux, se font une place bien au chaud sous le tapis. Mais bon, que voulez-vous, quand il manque des idées, il reste toujours la peur et le porte-monnaie.

Vive notre petit village !